L’autorité des marchés financiers dira le 9 janvier la date jusqu’à laquelle Artémis, la holding de l’homme d’affaires, pourra formuler un projet d’offre publique d’achat sur Suez, sous peine d’être empêché de le faire pendant six mois
L’AMF goûte peu l’ambiguïté de François Pinault. Ce dernier, qui expliquait mardi que «toutes les options restaient ouvertes» quant à une possible OPA de sa holding Artémis sur le groupe Suez, se voit contraint de clarifier sa position.
L’autorité des marchés financiers, qui s’est réunie en collège, juge en effet que François Pinault est en position de devoir expliciter ses intentions à propos des «rumeurs répandues dans la presse et sur le marché lui prêtant l'intention» de préparer une offre sur Suez. L’AMF cite également un courrier d’Artémis, qui confirmerait «l'existence préliminaire d'un projet relatif au groupe Suez».
Le gendarme de la Bourse fixera le 9 janvier, «après consultation des parties concernées», la date à laquelle Artémis devra clarifier sa position. Plusieurs possibilités s’offrent à Pinault : «soit déposer un projet d'offre publique visant les titres Suez, soit publier un communiqué portant sur les caractéristiques d'un projet d'offre publique», «soit déposer un projet d'offre publique visant les titres Suez, soit publier un communiqué portant sur les caractéristiques d'un projet d'offre publique».
La holding de François Pinault aura également la possibilité de «déclarer qu'elle n'a pas l'intention de déposer un projet d'offre», ce qui lui interdirait de lancer une OPA sur Suez pendant six mois, selon la nouvelle réglementation sur les OPA entrée en vigueur cet automne.
Le projet de rachat de François Pinault a suscité l’affolement des marchés, permettant à l’action Suez d’atteindre mardi son plus haut historique, à 40,5 euros. Jean-François Copé a rappelé en marge du Conseil des ministres que l’Etat continuait de soutenir «clairement et fortement» le projet de fusion entre Suez et GDF, que le Conseil constitutionnel a repoussé de six mois.
L’AMF goûte peu l’ambiguïté de François Pinault. Ce dernier, qui expliquait mardi que «toutes les options restaient ouvertes» quant à une possible OPA de sa holding Artémis sur le groupe Suez, se voit contraint de clarifier sa position.
L’autorité des marchés financiers, qui s’est réunie en collège, juge en effet que François Pinault est en position de devoir expliciter ses intentions à propos des «rumeurs répandues dans la presse et sur le marché lui prêtant l'intention» de préparer une offre sur Suez. L’AMF cite également un courrier d’Artémis, qui confirmerait «l'existence préliminaire d'un projet relatif au groupe Suez».
Le gendarme de la Bourse fixera le 9 janvier, «après consultation des parties concernées», la date à laquelle Artémis devra clarifier sa position. Plusieurs possibilités s’offrent à Pinault : «soit déposer un projet d'offre publique visant les titres Suez, soit publier un communiqué portant sur les caractéristiques d'un projet d'offre publique», «soit déposer un projet d'offre publique visant les titres Suez, soit publier un communiqué portant sur les caractéristiques d'un projet d'offre publique».
La holding de François Pinault aura également la possibilité de «déclarer qu'elle n'a pas l'intention de déposer un projet d'offre», ce qui lui interdirait de lancer une OPA sur Suez pendant six mois, selon la nouvelle réglementation sur les OPA entrée en vigueur cet automne.
Le projet de rachat de François Pinault a suscité l’affolement des marchés, permettant à l’action Suez d’atteindre mardi son plus haut historique, à 40,5 euros. Jean-François Copé a rappelé en marge du Conseil des ministres que l’Etat continuait de soutenir «clairement et fortement» le projet de fusion entre Suez et GDF, que le Conseil constitutionnel a repoussé de six mois.
Source: Le Figaro
No comments:
Post a Comment